L’IAD Théâtre présente

Je suis venue vous dire

Un exercice public de Master didactique
supervisé par Jean-François Politzer

Seuls en scène, avec, en alternance : Pauline Daemen, Soazig De Staercke, Virginie Kaiser
Nicolas Francq, création lumière et régie

- Entrée gratuite -
Réservation conseillée

Longtemps je me suis couchée de bonne heure
28, 29 et 31/03
Pauline Daemen
Robin Ledroit, guitariste

« Mon but n'était pas de faire bander les frustrés, d'émouvoir les midinettes ou de réjouir les snobs. Il était, il est encore de questionner l'être de la femme au moyen de formules adaptées à ce que j'appelle sa redoutable, sa toute somptueuse profondeur » - Marcel Moreau, Le sacre de la femme
Des désirs, des fantasmes, des mots d'amour, des mots crus, des mots qui en disent long, des mots qui disent tout ou presque rien.
Des arrangements seront nécessaires
29, 30 et 31/03
Soazig De Staercke

Monde.
Homme.
Complexité.

Un gros point d'interrogation sur le monde, l'homme qui y règne (en allant à la source de sa nature, du côté « fou », dans ses actes divers et variés…).
À travers les écrits des fous littéraires, des auteurs dits « fous » car ils n'ont obtenu aucune reconnaissance, qu'ils n'ont jamais été publiés tant leurs écrits sont loufoques, débridés ou abracadabrants, écoutons leurs visions de l'humanité qui parfois sont étonnamment sensées ...

Bonjour Jean
28, 30 et 31/03
Virginie Kaiser

Nous entretenons tous avec notre enfance un rapport particulier.
La représentation que l’on s’en fait peut osciller entre une douce nostalgie et le souvenir douloureux de nos premiers contacts avec la dureté, la discipline. Et si la suite de notre existence n’était en fait qu’une continuité de ce conflit entre ces deux forces contradictoires, l’une flamboyante, spontanée et profondément humaine, l’autre sévère, institutionnelle et valorisant le travail ? Et si grandir signifiait alors réconcilier ces deux aspects de nous-mêmes ?
En passant notamment par des textes de Raymond Queneau, Jean de La Fontaine, Fritz Zorn ou encore Ingmar Bergman, il s’agira ici de voir si une cohabitation entre humanité et austérité est possible.