Depuis 2015, le Brabant wallon y contribue activement à travers la campagne du Ruban blanc, un vaste programme de prévention, de sensibilisation et de mobilisation contre les violences faites aux femmes.
En 2025, la Province renouvelle son engagement en collaboration étroite avec les communes, CPAS et zones de police, tout en concentrant une grande partie de ses efforts sur un public prioritaire : les jeunes.
Avec des animations ciblées dans les écoles, un jeu de piste immersif et une journée d’étude destinée aux professionnels, cette nouvelle édition ambitionne de renforcer la compréhension, la vigilance et la capacité d’action de toute la société brabançonne.
En 2025, la Province renouvelle son engagement en collaboration étroite avec les communes, CPAS et zones de police, tout en concentrant une grande partie de ses efforts sur un public prioritaire : les jeunes.
Avec des animations ciblées dans les écoles, un jeu de piste immersif et une journée d’étude destinée aux professionnels, cette nouvelle édition ambitionne de renforcer la compréhension, la vigilance et la capacité d’action de toute la société brabançonne.
Une campagne ancrée dans le territoire
Le Ruban blanc est devenu, au fil des années, un symbole fort de l’engagement du Brabant wallon contre les violences conjugales et intrafamiliales.
En reconduisant sa campagne annuelle, la Province confirme son rôle de moteur dans l’élaboration d’actions concrètes menées en partenariat avec les acteurs locaux.
Les communes, les CPAS et les zones de police se mobilisent chaque année pour relayer les initiatives, participer à la diffusion des outils de sensibilisation et contribuer à l’établissement d’un réseau de prévention cohérent.
La campagne vise un objectif prioritaire : déconstruire les mécanismes de violence, encourager les prises de parole et orienter efficacement les victimes vers les structures d’aide.
Cet enjeu reste d’une urgence absolue lorsqu’on observe les chiffres : plus d’une femme sur trois en Belgique (36 %) subit des violences physiques ou sexuelles au cours de sa vie, et une femme sur quatre (24 %) est victime de violences conjugales de la part d’un partenaire ou ex-partenaire.
En reconduisant sa campagne annuelle, la Province confirme son rôle de moteur dans l’élaboration d’actions concrètes menées en partenariat avec les acteurs locaux.
Les communes, les CPAS et les zones de police se mobilisent chaque année pour relayer les initiatives, participer à la diffusion des outils de sensibilisation et contribuer à l’établissement d’un réseau de prévention cohérent.
La campagne vise un objectif prioritaire : déconstruire les mécanismes de violence, encourager les prises de parole et orienter efficacement les victimes vers les structures d’aide.
Cet enjeu reste d’une urgence absolue lorsqu’on observe les chiffres : plus d’une femme sur trois en Belgique (36 %) subit des violences physiques ou sexuelles au cours de sa vie, et une femme sur quatre (24 %) est victime de violences conjugales de la part d’un partenaire ou ex-partenaire.
Journée d’étude : analyser, comprendre et agir
Au cœur de cette édition 2025, une journée d’étude a été organisée le 18 novembre au Centre culturel de Rixensart. Destinée aux professionnels de terrain, elle a offert un espace de réflexion essentiel pour analyser les dispositifs existants et approfondir les connaissances liées aux violences intrafamiliales.
Introduite par la Députée provinciale en charge de l’Égalité des Chances, Sophie Keymolen, cette journée a permis de dresser le bilan de six mois de fonctionnement du DIViCo – le Dispositif Interdisciplinaire de soutien et de protection des personnes en situation critique de Violences dans le Couple.
Ce dispositif offre une prise en charge coordonnée des situations de crise, en mobilisant des équipes pluridisciplinaires. Le bilan présenté sur six mois permettait d’évaluer son efficacité, d’identifier les points d’amélioration et de continuer à affiner les réponses d’urgence et d’accompagnement.
La journée incluait également une conférence forte et bouleversante : « Maman, j’avais peur que tu meures ! », consacrée à l’impact des violences conjugales sur les enfants.
En mettant en lumière les conséquences psychologiques, sociales et émotionnelles sur les plus jeunes, la conférence invitait les participants à repenser les pratiques professionnelles et à intégrer davantage la dimension enfant dans leurs interventions.
En soirée, une représentation du Collectif Rhizome, intitulée « Murs Murs », a ouvert l’événement au grand public. À travers une démarche artistique sensible et engagée, la troupe a exploré la question des violences et la place de la parole dans les processus de reconstruction.
Introduite par la Députée provinciale en charge de l’Égalité des Chances, Sophie Keymolen, cette journée a permis de dresser le bilan de six mois de fonctionnement du DIViCo – le Dispositif Interdisciplinaire de soutien et de protection des personnes en situation critique de Violences dans le Couple.
Ce dispositif offre une prise en charge coordonnée des situations de crise, en mobilisant des équipes pluridisciplinaires. Le bilan présenté sur six mois permettait d’évaluer son efficacité, d’identifier les points d’amélioration et de continuer à affiner les réponses d’urgence et d’accompagnement.
La journée incluait également une conférence forte et bouleversante : « Maman, j’avais peur que tu meures ! », consacrée à l’impact des violences conjugales sur les enfants.
En mettant en lumière les conséquences psychologiques, sociales et émotionnelles sur les plus jeunes, la conférence invitait les participants à repenser les pratiques professionnelles et à intégrer davantage la dimension enfant dans leurs interventions.
En soirée, une représentation du Collectif Rhizome, intitulée « Murs Murs », a ouvert l’événement au grand public. À travers une démarche artistique sensible et engagée, la troupe a exploré la question des violences et la place de la parole dans les processus de reconstruction.
Un focus essentiel : sensibiliser les jeunes
Depuis plusieurs années, le Brabant wallon a choisi d’orienter particulièrement sa campagne vers les jeunes, considérant qu’ils sont un public clé pour prévenir durablement les violences.
Non seulement ils sont potentiellement confrontés à des situations de violence dans leur environnement familial ou amical, mais ils doivent également être outillés pour reconnaître, comprendre et refuser les comportements abusifs.
Cette année, les animations au sein des écoles provinciales s’articulent autour d’une activité immersive : un jeu de piste développé avec la complicité des maisons de jeunes.
Cette approche novatrice utilise des cas pratiques basés sur des situations réalistes, permettant aux élèves de se mettre symboliquement dans la peau d’un proche d’une victime ou d’un auteur.
Ils sont amenés à aller à la rencontre de différents professionnels – travailleurs sociaux, policiers, psychologues, associations spécialisées – et à découvrir les ressources d’accompagnement, les mécanismes d’écoute, les lieux de refuge et les démarches possibles pour aider ou sortir d’une situation de violence.
Cette pédagogie active place les jeunes au cœur de la réflexion. Elle leur permet de comprendre concrètement ce qu’est un cycle de violence, quelles sont les signalisations possibles, comment réagir face à un ami en détresse ou comment demander de l’aide lorsqu’ils en ont besoin.
Grâce à ces expériences interactives, les élèves repartent avec des outils concrets, mais aussi avec l’assurance que personne n’est seul face à la violence.
Des chiffres qui rappellent l’urgence d’agir
Les statistiques rappelées dans le cadre de cette campagne démontrent l’importance de maintenir, renforcer et adapter les actions de prévention. En Belgique, les violences faites aux femmes constituent une réalité toujours trop répandue.
Les données évoquées – 36 % de femmes victimes de violences physiques et/ou sexuelles, 24 % victimes de violences conjugales – ne sont pas seulement des chiffres : elles témoignent d’une fragilité sociale, d’un tabou persistant et d’une souffrance souvent cachée.
La campagne du Ruban blanc contribue, année après année, à faire évoluer les mentalités, à encourager les victimes à pousser la porte d’un service d’aide et à impliquer les témoins.
Elle rappelle que les violences ne se limitent pas aux coups : elles peuvent être psychologiques, économiques, sexuelles, institutionnelles ou numériques.
C’est pourquoi la Province insiste sur une approche globale, combinant prévention, sensibilisation, formation et soutien aux acteurs de terrain.
Les données évoquées – 36 % de femmes victimes de violences physiques et/ou sexuelles, 24 % victimes de violences conjugales – ne sont pas seulement des chiffres : elles témoignent d’une fragilité sociale, d’un tabou persistant et d’une souffrance souvent cachée.
La campagne du Ruban blanc contribue, année après année, à faire évoluer les mentalités, à encourager les victimes à pousser la porte d’un service d’aide et à impliquer les témoins.
Elle rappelle que les violences ne se limitent pas aux coups : elles peuvent être psychologiques, économiques, sexuelles, institutionnelles ou numériques.
C’est pourquoi la Province insiste sur une approche globale, combinant prévention, sensibilisation, formation et soutien aux acteurs de terrain.
Une mobilisation politique et citoyenne affirmée
Dans le cadre de cette campagne, la Députée provinciale Sophie Keymolen, en charge de l’Égalité des Chances, souligne l’importance de maintenir un engagement constant :
« La campagne du Ruban blanc rappelle que la lutte contre les violences faites aux femmes nous concerne toutes et tous, et reste un enjeu profondément prégnant dans notre société. La Province du Brabant wallon y prend pleinement part au travers des actions de sa plateforme, en soutenant les acteurs de terrain et en sensibilisant la population à cette cause essentielle, notamment par des actions dans les écoles provinciales. »
Ce message illustre la volonté politique de faire du Ruban blanc plus qu’une campagne symbolique : un levier d’action durable, inscrit dans un plan global de lutte contre les violences.
Cette mobilisation repose également sur un réseau dense d’acteurs locaux, dont l’implication est indispensable pour garantir une présence territoriale forte.
« La campagne du Ruban blanc rappelle que la lutte contre les violences faites aux femmes nous concerne toutes et tous, et reste un enjeu profondément prégnant dans notre société. La Province du Brabant wallon y prend pleinement part au travers des actions de sa plateforme, en soutenant les acteurs de terrain et en sensibilisant la population à cette cause essentielle, notamment par des actions dans les écoles provinciales. »
Ce message illustre la volonté politique de faire du Ruban blanc plus qu’une campagne symbolique : un levier d’action durable, inscrit dans un plan global de lutte contre les violences.
Cette mobilisation repose également sur un réseau dense d’acteurs locaux, dont l’implication est indispensable pour garantir une présence territoriale forte.
Vers une société plus juste et plus attentive
À travers son édition 2025, la campagne du Ruban blanc réaffirme son ambition : faire du Brabant wallon un territoire où chacun peut vivre en sécurité, respect et dignité.
L’accent mis sur la jeunesse prépare les générations futures à reconnaître ce qui constitue une relation saine, à comprendre les mécanismes d’emprise et à devenir des adultes attentifs, capables de dénoncer et de soutenir.
La journée d’étude, quant à elle, outille les professionnels qui sont souvent en première ligne : enseignants, travailleurs sociaux, policiers, médecins, psychologues. Ensemble, ils constituent la chaîne indispensable pour protéger les victimes et prévenir l’escalade.
En renouvelant sa campagne et en renforçant ses dispositifs, la Province du Brabant wallon démontre que la lutte contre les violences faites aux femmes ne doit jamais se relâcher. Car au-delà des slogans, c’est la construction d’une société plus égalitaire, plus vigilante et plus humaine qui est en jeu.
L’accent mis sur la jeunesse prépare les générations futures à reconnaître ce qui constitue une relation saine, à comprendre les mécanismes d’emprise et à devenir des adultes attentifs, capables de dénoncer et de soutenir.
La journée d’étude, quant à elle, outille les professionnels qui sont souvent en première ligne : enseignants, travailleurs sociaux, policiers, médecins, psychologues. Ensemble, ils constituent la chaîne indispensable pour protéger les victimes et prévenir l’escalade.
En renouvelant sa campagne et en renforçant ses dispositifs, la Province du Brabant wallon démontre que la lutte contre les violences faites aux femmes ne doit jamais se relâcher. Car au-delà des slogans, c’est la construction d’une société plus égalitaire, plus vigilante et plus humaine qui est en jeu.
Pour plus d’informations, vous pouvez consulter notre site web partenaire : https://www.brabantwallon.be/actualites/actualites-campagne-ruban-blanc-le-bw-soutient-une?u=72ffd85f356e4eb2855b366bfc58e6f2
Téléphone : +32 10 23 60 11
Email : info@brabantwallon.be
Adresse : Place du Brabant wallon 1, Wavre, Belgium


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